J'attend

Elric s'approcha du cinéma a pas lent et exaspéré, il s'arrêta en dessous des affiche qui décoré la façade sombre du cinéma. Il leva la tête.

- Trop long, trop court, pas assez d'action mais bon sang n'y a t'il pas un film potable dans cette fichue ville ?

Il haussa les épaules lorsqu'il vit qu'il avait parler tout haut et que l'homme qui distribuer les places derrière une vitrine de verre fin le regardais d'un air interrogateur.
Il s'approcha de lui en trainant les pieds, il resta quelque temps a le dévisager jusqu'à se que l'homme prit la parole :

- Pour messieurs ce sera ?

Elric soupira et dit d'un air agacé.

- Je ne suis pas si vieux pour être appeler de la sorte non ?

L'homme le regarda a deux fois.

- Veuillez me pardonner jeune homme.

- Ce n'es pas grave.

Il regarda autour de lui, deux chemins partant de chaque coté de la vitrine mené aux salles et sur les mur de ces chemins d'autres affiche étaient collée, il se choisit un film et montra l'affiche du doigt.

- Une place pour celui la, s'il vous plait.

Le réceptionniste tourna la tête pour voir de quel film il s'agissait et lui donne sa place.

Elric alla dans la salle, a la ranger du milieu et se mis assis jambes croisées sur le dossier du siégé en face, il était seul dans la salle.

Cela faisait plusieurs minutes que la petite démone marchait dans la ville à la recherche de la moindre parcelle de présence de l'esprit, quand enfin, un grand sourire éclaira son visage enfantin.

-Je l'ai trouvé! lança t' elle à Lena avant de l'entrainer dans le cinéma.

L'homme à l'accueil l'accosta:

-Mesdemoiselles! attendez! vous devez payer!

Soupirant, Alice revint sur ses pas, peinant à ne pas faire exploser ce minable sur le champ. Elle se concocta un sourire qu'elle força à coller sur son visage angélique.

-Il y a un garçon qui est passé par ici , il est toujours là. Quelle salle a t il pris?

Elle le décrivit rapidement et découvrit la salle où il se cachait. L'argent n'était pas un problème pour les démons,l'accès à la salle fut facile.

Tout était vide, lorsqu'elle rentra, la silhouette de l'esprit se découpait au milieu.

-Il n'a pas voulu. Mais j'ai quand même réussit à ramener celle qu'il aime.Elle émane une certaine puissance

Elle s'avança dans l'allée et s'arrêta à sa hauteur, entrainant Lena avec elle.

-Au fait, je m'appelle Alice.

Quelques plumes pénétraire dans la salle ou l'humaine, l'esprit et le démon dialoguer, elles allérent se poser sur le projecteur en haut au fond de la salle. Puis se mirent a briller d'un fort éclat blanc teinté de pourpre.

- Still stronger
From its taps
Fine sizes.
The drops fall
The courage unsuccessful ...
What can be done
Faced with this hell ?
See the blood flow,
How can we fight ?

Eden était apparu, une jambes pendant dans le vide et une autre replier sur le projecteur, il fixer l'écran et chantonné quelques vers d'un poéme morbide qui passer dans le navet, que les autres était surement de regarder. Sa longue épée accrocher par une sangle autour de son coup et de ses épaules pendais a l'horizontal dans son dos. Il se laissa tomber et se receptionna parfaitement au sol devant la porte. Il se rapprocha du groupe. Il regarda Lena dans les yeux assez durement puis dévisaga avec colére les deux autres, personne ne bougea a son arriver.
Un bruit sourd et aigue résonna dans la salle, et une marque rouge apparue sur la joue de la démone.

Eden venait de la baffer, il venait de faire preuve a deux reprise de son pouvoir, dit de la "bibliothéque", le Shunpo pour arriver ici et le déplacement instantané pour coller cette baffe sans qu'on le voi bouger.

Il se tourna vers Lena.

- Alors tu compte les aider ? Tu es tomber dans les réves de puissance et de cadeaux qu'ils t'on fait mirorter ? Je n'ai méme pu envie de parler. Je voulais me persuader que tu n'était pas comme les autres...Mais je me suis tromper...

Il se tourna et marcha vers la porte, devant celle ci il jeta un regard discret au dessu de son épaule pour voir si Lena avait réagis, mais rien. Il soupira et s'en alla.

Il passa devant la cabine, l'homme en sorti et cria :

- Par ou ete vous rentrer ! Il faut payer votre place.

Il stoppa, et sans un regard, il leva la paume de sa main vers le visage de l'homme, qui alla violement se coller contre le mur répand quelque morceaux ici, et la sur le mur.

Il repris sa marche.

- Alors tu compte les aider ? Tu es tomber dans les rêves de puissance et de cadeaux qu'ils t'ont fait miroiter ? Je n'ai même pu envie de parler. Je voulais me persuader que tu n'était pas comme les autres...Mais je me suis trompé....

Je haussai un sourcil, indifférente. Regrettant quelques instants d'avoir songé à m'attendrir sur lui.
Ne prêtant pas attention à la gifle qu'il mit au petit démon j'observai l'énergie qui bouillonnait furieusement en lui, je regardai plus attentivement pour y repérer cette folie au moment de sa conversion. J'étais calme, si détendue, et si froide, comme la neige qui n'en finit plus de tomber, gelant tout sentiment en moi. Il est vrais que j'ai voulu m'attacher, je me suis laisse tentée par ces belles paroles...mais je préfère bien mieux ma condition. je suis libre et je n'ai de comptes à rendre à personne sur mes agissements.

Me tournant vers l'esprit je remarquai cette couleur étrange. Depuis que j'étais entrée dans cette ville, je la voyais partout.

Je m'avançai et me postai près de lui.

-Je m'appelle Lena.

En trois mots j'avais résumé tout: je n'étais ici non par pitié mais par appât du gain(du pouvoir dans ce cas là) et je ne tenais pas à ce qu'il sache plus que mon prénom sur moi. De toutes façons, il n'y avait pas grand chose à savoir.

Eden resta devant le cinéma les mains encore pleine de sang du réceptionniste dans les poches, il coulait au fond de ses poches et commencer a en sortir par petite goutte, le corps du pauvre homme démembré gisait encore dans le couloir menant au salle. L'ange leva la tête et se mit a regarder le ciel , il ne s'attendait pas a voir un léviathan passer ou juste un oiseaux car le ciel de cette ville es mort, seul les étoiles le peuple constamment comme si une nuit éternel était tomber sur Edoya, mais se n'était pas son problème a présent, une question tournait en boucle dans son crâne

- " es si elle découvre que tout es de ma faute ? Que c'est moi qui les es tous tuer ? Que sa vie, son mal c'est moi qui les ai écrit ? "

Quelques plumes tombèrent a ses pieds, c'était signe d'un grand mal intérieure chez les anges. Sa lame dans son dos vibra, il baissa la tête et souffla :

- tais toi, tu a assez fait de mal.

Les lame qui vibrait encore stoppa a ses mots dis si durement qu'il aurais fait pleurer un être humain. Comme pour se faire pardonner de sa méchanceté il dit :

- Tu sais si on en es la, c'est aussi en parti de ma faute, j'aurais du être plus fort et te contenir plus tôt.

Comme pour confirmer, la lame vibra d'un coup sec.

- Il es temps d'y aller.

Il repris sa marche en murmurant un poème.

Sa joue était brulante,et surement rouge. Ce ne fut pas la gifle en elle même qui fit monter en elle une rage grondante, mais le fait d'avoir été surprise par un être qui la méprisait autant. C'était en quelque sorte, une cuisante humiliation.

Alice foudroya Eden du regard et serra les poings jusqu'à ce que ses phalanges en soient blanchies. Des taches de sang ruisselèrent du visage de l'ange et bientôt de grandes plaies s'ouvrirent sur son corps. La petite démone se sentit partir,et, pour une fois, résista à l'envie de se laisser porter par cette autre qui s'emparait de son corps lorsqu'elle avait envie de sang.

Elle le regarda calmement partir,réprimant ses envies meurtrières. Bientôt, l'odeur du sang se fit plus forte. Elle tacha de ne pas y prêter attention, de toutes ses forces, et attendit un geste, une parole de l'esprit. Il fallait qu'elle pense à autre chose,qu'elle exécute autre chose. Elle sentait déjà des picotements sous la peau, ses sens passer sans cesse en revue les alentours, et son corps brulait d'une flamme dont elle n'aurait pu vraiment décrire le sentiment qui la nourrissait. Haine? Soif? Adrénaline? Elle reporta son attention sur le problème principal, le problème qui faisait qu'elle était ici. Le meurtre de son employeur.

Alice y réfléchit,évitant soigneusement de regarder le sang qui se répandait en flaques dans la pièce et conclus qu'elle n'avait aucun élément qui puisse la mener quelque part. Elle ne savait même pas le nom de l'esprit....

Connaissait il son assassin? Pourquoi était il mort? Comment? Où? Et quand?

Elle se tourna vers Lena et réfléchit aussi à sa relation avec l'ange,tachant de ne pas remarquer les plaies qui abimaient son beau visage.

Elric ne bougea pas lorsque Eden arriva, non par peur mais par respect et admiration pour son M.l'ange.

Lorsqu'il baffa la démone si simplement alors que lui pour lui porter un seul et unique coup avais été médiocre, il en resta bouché bée. A la réaction d'Alice il se tordit de rire dans son siège.

Pendant toute cette scène, le film continuer de passer sur l'écran de toile blanche, devant une salle presque vide.

Eden parti, Elric se retourna et sauta presque de son siège pour le retenir, trop tard il été sorti et avait l'air en colère, il se rassit. Et fixa méchamment les deux filles. Il croisa les bras et au lieu de répondre a se qu'il avait lu dans la tête de la petite démone il leurs dit avec un ton d'enfant boudeur :

- A cause de vous, M.l'ange il es parti ! Il ma même pas dit bonjour.

Il soupira...

Après quelque minute il se relâcha.

- Je veux bien te dire se que tu veux savoir...Je connait mon assassin, c'était un petit garçon qui était avec moi l'orphelinat, je ne suis pas mort pour une raison particulière, lorsque se garçon entra dans sa crise de colère et de violence il se mit a haire toute chose et toute personne et tout se qui se trouvait dans le bâtiment mourut. Comment ma t'il tuer ? Je me souviens juste de la douleur que ses mains propagé en moi lorsqu'il m'arrachait des bouts de chair. Je ne suis pas mort tout de suite grâce a l'intervention d'un des éducateur j'ai pu ramper jusque sous l'escalier, la ou je me suis vidé de mon sang. Cela remonte a plusieurs année même si ma forme spectrale reste celle de mon enveloppe charnelle lors de ma mort.

Il soupira de nouveaux.

- Oh une derniére chose un nom me revient fréquement lorsque je pense a mon assassina.... Mido Eden.

Mido Eden... Je sursautai à ces mots...à ce nom et restai interdite. Les connexions entre les évènements présents et ceux passés se lièrent et la seule réaction que j'eus fut réellement étrange. j'éclatai d'un inexplicable fou rire sous le regard étonné des deux autres. Ce fut tellement dur de me calmer!

Mes yeux se posèrent sur l'esprit. Allais je lui dire?Allais je tout lui révéler?

Enfin...pour le moment je ne pouvais plus m'arrêter de rire. Ce n'étais même pas drôle! J'étais en colère contre ce sale séducteur et contre moi même aussi. Il m'avais raconté le récit de sa vie, tout concordais. Il n'y avait aucun doute sur sa culpabilité.
En fait...c'était cette situation qui était vraiment improbable: Je venais de rejoindre un groupe enquêtant sur la mort de "l'employeur" dont l'assassin était un type qui m'avait embrassé, avait déclaré qu'il m'aimait puis que je le décevais énormément et dont "l'employeur" semblait l'idolâtrer.

Finalement, mon rire se calma, devint froid et dur et je m'arrêtai sur une phrase de conclusion:

-Mido Eden...c'est ton cher Mr.L'ange. Il m'as raconté sa vie et ton histoire concorde parfaitement!

Je tournai les talons sur un bref "salut" et sortit. Je n'avais plus rien à faire ici. Qu'il se débrouille avec ce type tout seul.

[ La grande place]

-Mido Eden...c'est ton cher Mr.L'ange. Il m'as raconté sa vie et ton histoire concorde parfaitement!


Alice manqua d'éclater de rire à ceette nouvelle. Elle attendit unne réaction ded la part de l'esprit mais rien....il n'y avait rien. Et ceci dura...dura...et dura.....

Du coup, sa joue ne lui faisait plus mal, elle avait même envie de siflotter.
Et finalment, elle se demanda ce qu'elle pouvait bien attendre puisque de toute évidence, l'autre était en état de choc profond et qu'elle n'avait casiment rien fait pour trouver le meutrier en question.

Elle se tourna de droite à gauche et chantonnant presque.

-Je m'en vais.

Elle attendit. Pas de réaction.

Elle haussa les épaules et tourna les talons.

[ Les portes de la ville]

Elle avait blasphémé, il ne pouvait pas croire a tant d'idiotie. Comment un être si pur, si beaux, fort et intelligent aurait'il pu commettre se crime.

Puis elle sorties du cinéma.

Lui resta jusqu'à la fin du film.

Ce lui ci terminer, il sorti. Il croisa le corps d'un homme mort depuis bien longtemps sur le tapis.

Il resta quelque heures a marcher dans les grandes rues a regarder toute les étale marchande. Puis il rentra chez lui dormir.