Paquet cadeaux

Eden tourna la tête vers elle lorsqu'elle passa la porte.

Elle voulait rester seule ? Bien il avait désormais d'autre chose a s'occuper. Comme cette histoire de poésie ou Abel qui risquait de ré attaquer d'ici peu.

Mais juste avant qu'elle ne sorte Eden lui cria. En regardant le sol.

- Si Abel se pointe et qu'il décide de vous faire payer ? Comment feras tu ? Avec ton niveaux si bas tu nous égalise pas, ni moi, ni lui. Même a deux vous n'y arriverais pas.

Elle était parti, il se leva et se mis debout devant Amber. Il été bien plus grand qu'elle. Il pouvait baisser les yeux pour la regarder. Ses petite lunette ronde et violette sur le bout du nez ne le gênait en aucun point pour la contempler. Il avait le torse seulement recouvert par sa longue veste banche. Elle lui frôler les talons. Ses cheveux coiffé comme un oursin lui tomber devant les yeux, a quelque endroit. Les mains dans les poches de son pantalon noir, et rayé de blanc. Duquel pendait plusieurs ruban de tissu, pour casser la simplicité de le coupe. A sa ceinture pendait son épée. Elle c'était tu pendant tout se temps. Il la regardait. Attendant une réponse.

Il la prit dans ses bras et colla son visage contre son torse chaud.

- C'est a nous de dicter notre vie, nous allons vivre comme on le veut.

Amber avait observé Lena sortir sans le moindre intérêt. Elle percevait ses pensées grâce à la liaison et en avait déduit que cette fille ne possédait un intellect que très peu développé. La micro-démone qu'elle traînait comme un clébard ne semblaient, elle non plus, pas briller par son intelligence. Le preuve en fut les grands signes qu'elles adressa en sortant. Ni Eden, ni Amber ne porta un regard sur cette insolence. Les parasites s'en étaient allés et Amber s'en réjouissait, voilà tout.

Puis Eden l'avait enlacée. Et une forme de colère bouillonna dans son ventre. Elle le repoussa à nouveau et s'exclama :
<< C'est tout ce que tu trouves à dire !? "C'est à nous de dicter notre vie", elle l'avait imité sur un ton moqueur et furieux, mais tu te fous de qui ?! Tu ne peux pas être le fils de Dieu, enfin ! Je ne suis pas l'enfant de Satan !!! J'ai eu une mère, un père et même une sœur ! Ma mère n'avait rien de Satan, c'était une tueuse et une bouffeuse de cadavres comme les autres ! Et l'enfant de Satan ne peut être qu'unique !!! C'est écrit dans notre Bible : UNIQUE, tu m'entends !!! Et j'ai UNE SŒUR !
Sa rage la fit fondre en larmes... Elle n'en pouvait plus, c'était impossible. Elle s'effondra sur le canapé en sanglotant.
<< Et si... Tu ne mens pas, bafouilla-t-elle, ta phrase n'a tout de même aucun sens. Ce texte devient par notre liaison une prophétie de Satan et je dois l'accomplir ou, dans le cas contraire, je mourrai. Que je sois sa fille ou non, Satan reste Satan. Et il est écrit qu'on ne contredit pas ses décisions.
Les yeux embués de larmes, elle observa les siens derrières ces lunettes ridicules.
<< Tu ne peux pas être le fils de Dieu, répéta-t-elle d'une voix noyée de sanglots, car je ne suis pas la fille de Satan. Si tu l'étais, notre liaison serait impossible. >>

Eden, laissa tomber sur le canapé. Exténuer par Amber qui ne cessé de vouloir sans cesse des réponse a de simples question existentiel.

Il s'allongea sur le canapé et mit les mains derrière la tête et superposa ses jambes l'une sur l'autre.
Il remonta sur son nez ses lunettes, puis remit sa main la ou elle était peu avant.

- Quand va tu stopper tes jérémiade et utiliser ta cervelle, bordel ?

Il soupira.

- Tu dis savoir plein de choses sur le monde, certes comme se n'es pas de ton bord je peu concevoir que tu n'en connaisse pas tout les détails, mais souviens toi, d'une légende, sur le fils d'un dieu d'une autre religion. Il aurait enfanter une sainte par son pouvoir Divin. La seule explication qui peu se poser, es la suivante : ils c'est passer la même chose avec ta mère et ta "sœur" ( il avait pris un ton détestable sur se mot ) et alors la fille de chair et de sang de ta mère et de ton père.

Il resta sans rien dire, puis lâcha un soupir.

- Tu t'exclames fort de caractère, mais tu fond vite en larmes je trouve.

Eden commencer a devenir détestable mais, seulement il se comportait comme il en avait l'habitude.

- Maintenant calme toi.

Il afficha un doux sourire sur ses lèvres.

- Oh es puis si a l'esprit te vient l'idée de me frapper dans les partie intime ou juste parce que j'ai les yeux fermer change de rêve de suite. Si tu aurais prit la peine de tenter de chercher se qui avait changer en toi tu découvrirais que la couleur de ton aura a virer a l'essence divine.

Amber l'avait écouté en pleurant en silence. Elle ne croyait à aucun de ces mots. Elle ne voulait pas se rendre à l'évidence. Elle n'avait qu'une envie : planer, flotter sur un nuage rose. La démone ondula comme un serpent jusqu'à se hisser sur les genoux de son partenaire. Son bustier était toujours abaissé sur ses hanches et son soutien-gorge, balancé quelque part par Eden dans les méandres du salon. Elle se colla à lui, l'enlaçant fermement entre ses jambes fines et gracieuses et enfui son visage humide de larmes dans son cou. Elle le parcoura de baisers et lécha doucement sa carotide jusqu'à descendre à la base de son omoplate. Là, Amber eut un sourire malsain et mordit un grand coup dans l'épaule d'Eden. Elle lécha le sang qui coula de la petite plaie adorable et embrassa Eden.

<< J'ai mal, là. Dit-elle en prenant la main de l'ange pour la poser contre son sein gauche où l'on sentait son cœur battre plus fort que d'ordinaire. Le meilleur remède serait que tu me punisses pour ça... >>
Elle avait désigné sa morsure à Eden. Elle le regardait d'un petit air satisfait avec ce regard un brin coquin qui en disait long. Elle se mordit la lèvre et afficha une expression enfantine très excitante, celle qui disait "Ne me fais pas mal, s'il te plaît".

Aucun tressaillement, aucune douleur, aucun signe de se genre. Il avais juste senti qu'elle l'avait atteint voila tout.

" J'ai mal, la..." elle lui avait poser la main sur son seins la ou qu'elle que soit la race un cœur battait, le siens battait fort, mais Eden doutait d'une chose. Se faire prendre comme un objet ne fera pas se tarir la douleur qui germait dans son cœur. Elle avait besoins de réconfort.

Il se tint sur un de ses coude et lui attrapa les cheveux, décidément il avait une drôle de façon de réconforter les pauvres jeunes filles au cœur souffrant. Ses cheveux fermement tenu il l'attira vers lui et l'arrêta devant lui, il pouvait voir son image se refléter dans les yeux d'Amber tant elle était proche.

- Je crois ne connaitre qu'un seul moyen pour te réconforter...

Il afficha un sourire bien trop sadique, pour un ange, pour le fils de dieu. Il la balança a l'autre bout du canapé et vint se mettre sur elle.

- J'estime avoir été bien trop gentil avec toi, j'ai trop laisser passer ton insolence, tes écart de langage et ton acharnement sur nos origines.

Il utilisa la même technique que tout a l'heure pour lui faire voler son pantalon quelque part dans la pièce. Il arracha la culotte. Elle était presque nue, il fini de lui enlever se qui lui restait d'une manière assez brutal. Puis revint vers ses lèvres.

Il l'embrassa doucement, amoureusement et pendant se baisser il fit glisser sa main vers la table qui se trouver a l'arrière du canapé, le sac d'Amber si trouvait, il attrapa la première chose qui avait une assez longue partie et la sorti discrètement.

Il continua a embrasser Amber tout en fessant glisser le manche de l'objet de son cou, puis entre ses seins, puis sur son ventre, puis légèrement sur son sexe, puis l'objet disparu du corps de la démone. Mais il réapparu soudainement en la pénétrant de toute sa longueur.

Eden se releva doucement, et la regarda se tordre sous la torture qu'il lui infligez en fessant faire des mouvements d'aller-retour a l'objet dans son corps. Il jeta un coup d'œil a l'objet, une brosse a cheveux avec un manche rond assez long et large.

Il sourit, reprit Amber par les cheveux et la colla contre son pantalon, la ou une bosse se former. Il la lâcha le temps d'ouvrir la fermeture et de le baisser. Son sexe droit et tendu, avait prit une taille bien plus importante que la veille. Il reprit Amber par les cheveux et il lui mit dans la bouche. Main derrière la tête pour la tenir a son supplice. Pendant tout se temps il avait continuer a jouer avec l'objet.

L'Ange n'y tenait plus, il s'était jeté sur elle comme un vampire sur une artère chaude et palpitante. Amber n'avait cessé de lui mordiller le cou durant tout le temps qu'il lui était accessible. Les tétons de sa poitrine parfaite vinrent se coller contre le torse de celui qui se disait enfant de Dieu. Elle ouvrit alors doucement la chemise depuis trop longtemps fermée d'Eden en lui adressant un sourire provocateur :
<< Je ne cesserai jamais de jouer au plus malin... Si tel est mon châtiment, répondit-elle en soupirant sous les caresses sensuelles desquelles il la couvrait toute entière. >>
Son ventre se serra contre celui désormais nu de son amant, leur communion serait parfaite. L'empire du vice, l'enfer charnel résidant sur un paradis terrestre... Un sublime blasphème. Il l'avait déshabillée d'une manière des plus abruptes et elle s'était laissée faire, s'abandonnant à sa volonté, le désir brûlant qui parcourait ses formes divines n'étaient pas pour lui déplaire. Il avait soif de son corps, de son être, comme elle avait soif du sien.

Soudain, Amber sentit quelque chose pénétrer en elle. Ce n'était pas chaud, pas vivant. Eden s'amusait à la torturer avec une brosse à cheveux. Elle tenta de se débattre, en vain. Le poids de l'Ange sur elle l'empêchait d'agir tandis qu'il se régalait de voir son visage, si pâle, se déformer, et ses lèvres peintes en rouge sang alterner entre de langoureux accès de plaisir et de petits cris aigües de douleur. La dureté de l'objet se voulaient difficile à supporter durant ces infernaux allers-retours incessants. Puis son bourreau sembla se lasser et l'attira vers son entre-jambe en la tirant par les cheveux. Il apparut alors à Amber que ce petit jeu sadique n'avait pas laissé son hôte indifférent : sa virilité se voulait gonflée et dure comme jamais. Elle n'eut pas le temps de respirer qu'il lui avait déjà fourré jusqu'au fond de la gorge. Elle gémit d'une voix étouffée, comme une petite chienne qui se soumettrait à son maitre.

Elle sentit alors qu'Eden n'avait pas déloger la brosse à cheveux de ses entrailles. Elle n'en pouvait plus, il fallait qu'il mette fin à se calvaire. Alors, elle obéit. Pour donner satisfaction à son maître, sa langue parcourut de bas en haut la verge qu'il lui avait enfoncée dans la bouche et s'y appliqua un moment avant de jouer un peu plus avec l'instrument de son envie profonde et de temps à autre, le lécher comme un petit chat lècherait la main de son propriétaire. Elle lui fit don d'un regard des plus innocents dissimulé derrière un sourire légèrement malsain et remonta à lui pour l'embrasser...

Elle s'appliquer a la tâche comme il en avait envie. Il la regardait pendant sa travail et perçut ses petits bruit, ses regards, ses sourire, Eden adorer cette domination.

- Tu aime sa dit moi ?

Il la força a reprendre la virilité comme outil de travail. Il la retira puis la remit. Comme si il la pénétrait. Eden passait pour le plus gros des dominateur SM, mais se qu'on voyait pas derrière c'était son amour, un amour qui respecter la fille, a qui il fessait l'amour, c'était du bétail en image, pour les satisfaire tout les deux, mais dans leurs cœur, chaqu'un voyait en l'autre le plus gentille et doux des fermiers.

Il s'enleva d'elle et la tira vers le bord du canapé, elle avait la tête qui tomber un peu dans les creux des cousin des sièges et ceux du dessus. Alors il passa ses mains derrière sa tête et la soutint. Il l'avait pénétrer.
Il soutint sa tête d'une mains et fit glisser les doigts de l'autre délicatement sur ses lèvres, a quelque fois elle tenta de les attraper pour les lécher, mais Eden aimer jouer, il lui retirait aux dernier moments.

Il accéléra.

Encore.

Plus fort.

L'ange ne mit pas fin tout de suite à la torture. Il força la jolie démone à user encore un peu de ses talents, lui faisant avaler sa queue comme si elle n'avait été qu'une vulgaire prostituée.
<< Oui j'aime ça, dit-elle essoufflée et tremblante quand il la lâcha enfin, mais moins que ce que tu vas me faire là. >>
Et Eden la fit basculer à nouveau sur le canapé, lui retint la tête et la pénétra violemment.

La démone ne put que crier à cet instant car elle ne s'était pas attendu à recevoir cette chose énorme en elle si brutalement. Son vagin avait eu du mal à accueillir le sexe terriblement gonflé d'Eden qui ne lui avait pas laissé le temps de s'habituer à l'action présente. Il avait forcé pour y entré le plus vite possible. Amber eut du mal à supporter les premiers assauts de son amant, puis sa respiration devint plus haletante et elle poussa malgré elle, de tendres gémissements de contentement... Eden lui donnait ses doigts à goûter qu'elle tentait d'attraper sans y parvenir... Cela excitait grandement l'ange qui ne s'en sentait que plus possessif.

Et il accéléra, le rythme devint insoutenable. La démone hurla tant la cadence était difficile à tenir. Même avec quelques super pouvoirs supplémentaires. Elle s'affala, épuisée sur les coussins. Quelques instants plus tard, elle se défit de l'étreinte de l'ange et se retourna, face à lui. Elle l'enlaça et lui dit :
<< Et si finalement, je n'avais pas besoin que tu me baises mais... que tu me fasses l'amour ? >>

Il la regarda, et sourit, il l'embrassa et son visage dans ses mains, il dit :

- Faire l'amour au jolie démone, c'est ma spécialité...

Il la serra fort contre lui et échangea les position sauf que lui été bien installer assis sur le canapé. Amber sur lui, il lui fit s'étirer en arrière de façon a se qu'elle puisse poser ses mains sur les genoux d'Eden pour plus de stabilité. Il commença a faire bouger son bassins doucement, il lui imprima de doux mouvement, mais ses mouvement firent pénétré sa queue au plus profond d'Amber par petits a coup plus nombreux que des large et puissant coup. Eden lui fessait l'amour, comme un homme le ferait a sa femme. Il se rapprocha d'elle et se colla a elle. Elle pouvait sentir sa chaleur, une chaleur brulante, mais pas celle de l'excitation sexuelle, ni celle de la pièce, mais celle d'Eden mélanger de sentiment. Une sensation de bruler, se fessait sentir lorsqu'on le toucher, Eden ferrait fondre des glacier éternelle brulant tel qu'il était.

Il l'embrassa.

- Je t'aime...

Il l'allongea sur le canapé et vint se coller a elle, on ne distinguer pu de creux entre les corps, les seins d'Amber étaient écraser par le torse puissamment muscler d'Eden, leurs entre jambe avait disparue dans un mélimélo de cuisse et de jambe entrelacé. Il la pénétra comme en glissant; comme si sur la glace il fessait des aller retour, de très doux aller retour. il ne cessa de la mordiller, de l'embrasser ou lécher pendant tout se temps.

<< Faire l'amour au jolie démone, c'est ma spécialité... >>
Il avait sourit. Il souriait rarement, Amber n'avait jamais ressenti ça : ce sourire... Il avait fait rebondir brusquement son cœur, en l'immergeant dans une immense vague de sensations chaudes et agréables. Eden devint doux. La pénétration se transforma en un moment de communion intense. Et ce fichu cœur qui battait à tout rompre... La démone se remit à gémir, c'était délicieux, c'était évidemment parfait. Elle sentit la queue de son amant avenant à chaque fois un peu plus profondément en elle, elle adorait ce qu'il lui faisait sentir. Elle cria un peu mais c'était différent de tout à l'heure, moins bestial. Quand arriva le moment où elle reçut intensément l'ange au plus profond d'elle-même, elle cria encore. Mais ce cri là était plus lourd de signification que les autres car les lèvres d'Amber avaient formulé... << Oh, Edeeeeen ! >> Son nom. Son nom à lui.

Il l'embrassa à nouveau et lui dit qu'il l'aimait. Cette déclaration fut si tendre, si sincère, qu'Amber en fut bouleversée. Elle se laissa porter tendrement vers l'assise du canapé où il l'avait déposée comme une petite chose fragile qu'il ne voudrait surtout pas abîmer. Elle se mordit les lèvres quand il revint en elle tellement cet instant était merveilleux. Des larmes de bonheur coulèrent sur ses joues et ses jambes s'enroulèrent fermement autour de l'ange. Elle mit un moment pour rassembler assez de courage pour lui dire les mots qu'elle avait soigneusement évité de prononcer jusqu'à présent :
<< Moi aussi je t'aime. >>
Elle avait l'impression que rien n'était meilleur sur Terre que ça, l'avoir lui contre elle et en elle. Sentir sa tiédeur contre sa peau démoniaque naturellement brûlante. Il n'avait eu qu'à la désirer et elle lui appartenait. Amber l'avait laissé prendre possession d'elle parce qu'instinctivement, elle savait que c'était ce qu'elle voulait plus que tout au monde. Ses lèvres cherchèrent celles de l'ange qui n'étaient déjà pas loin des siennes et, alors qu'il était encore en elle et que des larmes continuaient d'embuer son regard doré, elle lui murmura :
<< J'espère que tout se passera comme Satan l'a prédit. Parce qu'à la fin je serai avec toi pour le restant de mon existence et je n'aspire qu'à cela désormais.... >>

Il l'avait regarder en ayant cesser toute action qui aurais pu couper ses mots d'un cris, il avait continuer a la pénétrer mais doucement si doucement qu'en ce laps de temps, si il lui aurais fait l'amour bestialement sa aurais été l'équivalent de dizaine de pénétration.

Elle c'était mise a pleurer, a se moment la il avait comme regardais partout pour voir ou avait'il fait mal. Il essuya ces larmes du bout des doigts et juste a la seconde ou elle avait souffler son dernier mot, la paume des mains sur ses joue chaude il l'embrassa comme il l'avait jamais embrasser, comme il avait jamais embrasser. Tout en continuant sa torture douce qui inculquer a la chair d'Amber.

- Je ne veux aussi que toi pour tout le reste de mes jours, je ne peu pas me passer de toi.

IL se courba un peu pour pouvoir atteindre les seins d'Amber qu'il prit soigneusement dans une des mains pour la torturer de frissons de plaisir. Il ne s'attaqua pas directement au point sensible du seins, il le massa furtivement, le lécha, la mordilla. Puis il remonta vers le point rosé, et le lécha puis souffla un air froid dessus qui le fit pointer puis s'en attendre il le lécha.

Il reprit une pénétration comme lorsqu'il été en symbiose, peu rapide mais assez pour faire décoller le dos d"Amber du canapé a chaque coup a un plus rapide que les autre, tout en restant doux, tendre, affectueux et attentionné.

Le temps était aux mots tendres et à l'amour fusionnel, bien plus que comblée, Amber ne cessait de gémir doucement, comme un petit chaton miaule sous les caresses... Eden s'affairait à la couvrir de chaleur, tout en lui rappelant son désir en s'attardant par instants sur ses seins ronds. Elle mordait ses lèvres délicatement en poussant des soupirs brûlants. Elle pasait ses mains partout sur le dos de l'ange et ne perdait pas une seconde à l'embrasser comme il l'avait embrassée précédemment.

Amber se releva doucement, obligeant Eden à s'assoir avec tendresse puis revint sur ses genoux, recevant ainsi son sexe toujours aussi gonflé plus profondément qu'elle ne l'avait espéré... Elle l'enlaça, de ses jambes, de ses bras et de son corps, son visage n'exprimait plus que la passion et le plaisir.
<< Je t'appartiens toute entière. >> Dit-elle, mais cette fois-ci, sans le moindre quiproquo érotique : ce fut un aveu sincère.
Leur corps, inondés de chaleur, se fondaient l'un à l'autre. Amber, démone chétive au teint de procelaine, recroquevillée autour de son terrible et imposant amant, avait l'air d'une candide petite enfant, remarquablement fragile. Mais quiconque l'aurait observé de près aurait sût remarqué l'accent démoniaque machiavéliquement attirant qui parcourait son corps magnifique.

Elle sentait Eden s'exciter un peu plus en elle si bien que, par instants, son vagin paraissait plus étroit à ses tendres assauts, la faisant presque crier. Ses lèvres de démones parcourèrent encore le cou angélique, léchant et mordillant, comme pour apaiser une soif iracsible. Tout son être semblait lui vouer une adoration sans limite et l'Ange paraissait s'y plaire...

Elle s'était relever, Eden était au plus profond d'elle. Son corps était tout enrouler autour de lui. Et lui il la soutenez par les fesses avec ses mains viriles et puissantes. A chaque mouvement du bassins d'Amber, son excitation contracter ses doigts.
Il fit remonter ses mains le long de la colonne vertébrale d'Amber, doucement, très doucement, sentant les petits frissons de chatouille sur la peau frêle d'Amber. Une de ses mains était sur son coup, il lui fit pencher la tête en arrière. Et lui dévora le cou. Sa langue se retrouva vite entre la forte poitrine de sa petite démone adorée. Il s'occupa, s'afféra a aimer ces seins magnifique qui s'offrait a lui. Il leurs apportait autant d'amour a se moments qu'a Amber au complet.

- Je veux t'appartenir moi aussi, le temps et nos vie nous appartiennent.

Eden inspira par petit coup régulier, se qui lui fit sursauter le bassins, pénétrant furtivement dans le corps de la démone. Il camoufla son visage dans la chaleur de sa poitrine, sans pour autant les laisser tranquille.

Sa se voyait, sentais, elle le voyait, elle le sentais Eden l'aimer elle, se qu'il lui fessait et se qu'elle lui offrait.

Elric avait pris sa forme enfantine, une forme si joyeuse si belle et pourtant, pleine de tristesse et de souffrance. Souffrance d'une mort, affreuse de la main d'un enfant a peine plus age que lui en plein délire macabre.

Il se trouvait devant la maison d'Eden. Il se souvenait de cet être merveilleux, plein de bonté et de puissance. Il l'aimer, il l'admirer mais tout le monde blasphémer en l'inculpant de son meurtre.

Il monta les quelque marche pour se tenir le poing lever en l'air prés a frapper a la porte. Soudain il perçut des bruits, des bruits encore inconnu. Une voix de fille s'en détacher, criant qu'elle aimer sa, qu'elle en voulait toujours plus. Soudain des mots sortis de la bouche de cette dite fille vinrent frapper le cœur d'Elric.

Je t'aime Eden

Elle l'aimer, il portait le même nom que son assasin, tant de question lui grignoter le cœur : es qu'il l'aimer lui aussi ? Était il vraiment son assassin ?

Il se décida a frapper a la porte.